10.14.2010

REVUE DE PRESSE ALISTER



« Bouillonnant d'idées, Alister n'est pas homme à se laisser faire. Plutôt à la ramener. » (L’Express, Gilles Médioni, juillet 2008)

« Un guitariste gaucher et adroit » (Magic, Thibaut Allemand, avril 2008)

« Sur des segments courts, parlant, avec une grâce de premier communiant, de « filles allongées dans la salle de bain », le monde s’aborde ici au prisme d’un inventaire de gueules de bois » (Libération, Ludovic Perrin, avril 2008)

« Belle gueule, textes drôles, habillage pop-rock crédible, Alister a tout pour agacer. Manque de bol, il est sympa » (FHM, mai 2008)

« La musique française, en général, m’ennuie. A part les chants de légionnaire, Alister ou Pauline Ester. Des trucs en « r » quoi. » (Sébastien Thoen, Les Inrockuptibles, juillet 2008)

« C’est la troisième fois qu’on le voit en, et c’est la troisième fois qu’on voit se créer autour de lui une bulle éphémère de « good vibes » inattendues. Il le fait sans arrière-pensée et sans pour autant sentir le patchouli. » (Technikart, Laurence Rémila, juin 2008)

« Alister, je l’ai découvert quand il n’était pas connu » (Frédérique Bel, Biba, décembre 2008)

« Un certain air de famille avec les romanciers hussards, comme Antoine Blondin pour les textes (…) En France, on devrait chérir ceux qui refusent de marcher au pas cadencé car ce sont eux qui créent des vocations » (Vox Pop, juillet 2008)

« S’il est pertinent dans l’exercice de la chanson au vitriol, il n’est pas moins touchant lorsqu’il aborde le registre de la ballade exécutée en piano-voix » (Le Figaro, Olivier Nuc, novembre 2008)

« C’est du rock, écrit avec des mots d’ici, et contant des histoires détachées. Alister le chante en français comme Alex Chilton le ferait s’il pouvait encore chanter » (Les Inrockuptibles, Christian Larrède, avril 2008)

« Ca me rappelle un peu les Kinks » (Alain Chamfort, Taratata, mars 2010)

«(...), on se déhanchait donc sur Alister, qu'est-ce qu'on va faire de toi qu'est-ce que t'as dans la tête ? tu ne sais que danser tu ne sais que rater ta vie, Luc faisait exploser des pétards dans chaque recoin du jardin, qu'est-ce qu'on va faire de toi ? des romances nerv...euses, de quoi as-tu envie ?, de romances nerveuses, de quoi as-tu besoin ? (...)» (Camille Laurens, "Romance nerveuse", p. 160, Flammarion)

« On est loin des étiquettes qui grattent au fond du col » (Technikart, Bester Langs, janvier 2008)

« On ressort abasourdi et touché par la foi mise dans cette poignée de chansons pas comme les autres » (Magic, Thibaut Allemand, avril 2008)

« Apparemment, le garçon, particulièrement dispo, n’a pas les chevilles qui enflent. A la fin de l’interview, c’est lui qui remercie, chose devenue rare dans le milieu » (Sud-Ouest, juillet 2008)

« Auteur du aujourd’hui mythique « Antisocial, tu perds… tes ch’veux ! », le bonhomme en a sous la semelle. » (La Marseillaise, octobre 2008)

« Alister a tout pour convaincre le grand frère et émoustiller la petite soeur » (Le Rock Dans Tous Ses Etats, programme, juin 2008)

« Il ne dit rien Alister. C’est un cador » (Bernard Lavilliers, décembre 2009)

« Alister élève le parisianisme au rang d’art » (Ouest-France, décembre 2008)

« Alister, chanteur prosateur et moqueur » (Paris-Normandie, juin 2008)

« Ici, pas de sourire Ultrabrite » (JDA Métropole, Antoine Caux, mars 2009)

« La concision est au rendez-vous » (Rock and Folk, H-M, mai 2008)

« Alister. Ne pas confondre avec Alysson, la sœur de Vanessa » (Tsugi, novembre 2008)

« L’amour comme remède à tout ; la philosophie alistérienne se veut post-christique, clamant telle une Ségolène Royal ruinée au Martini : « Aimez-vous les uns sur les autres » (Le Petit Bulletin, novembre 2008)

« Son premier album sent bon le terroir » (A Nous Paris, Ivan Eissendi, juin 2008)

« Légèrement décadent, normalement cynique, mais dans ses bons moments, très drôle » (Glamour, Philippe Nassif, juillet 2008)

« "Fille à problème", on la fredonne contre son gré, c’est la quintessence des soucis du jeune homme blanc âgé de 25 ans qui vit intra-muros. Cela en fait-il une chanson moins digne ? Absolument pas. » (Gonzaï, Bester Langs, décembre 2007)

« Alister est un baba pas cool. C’est ce qui est arrivé de mieux à la chanson française depuis Pierre Desproges » (La Marseillaise, août 2008)

« Alister n’est pas le connard blond de Candy » (Shebam Blog Pop Wizz, juillet 2008)

« En quelques mots, quelques phrases, ALISTER réussit à dire des choses profondes, essentielles et vraies en driblant systématiquement son sujet comme un footballeur de grande classe qui n’aurait pas encore appris les discours stéréotypés d’après match. » (Chicken Tandoori, février 2009)

« Alister s'interroge ainsi sur l'évolution de l'Homme dans une société où les médias sont tout-puissants, avant de faire part de ses riches expériences nocturnes et d'expliquer le désordre et le bordel dans lesquels il évolue. » (Programme West Roc, février 2009)

« Alister est radieux à travers sa barbe leforestiérienne » (Chorus, Jean-Claude Demari, novembre 2008)

« On accueille monsieur Alister, qui ne manque pas d’air… » (Emma de Caunes, La Musicale, Canal +, novembre 2008)

« Et puis, Alister est venu bousculer tout le monde… » (Ouest-France, juillet 2008)

« Alister ? Allez-y… » (La Marseillaise, avril 2008)

« On mise tous nos jetons sur Alister, jeune gaulois barbu et débraillé, cynique et redoutablement talentueux » (FHM, avril 2008)

« Avec sa plume coquine et assassine… » (Gala, mars 2009)

« Le chanteur donne l’impression de ne pas s’être couché depuis 48 heures » (Midi Libre, avril 2008)

« Alister grande tige chevelue christique nous fait croire à un trentenaire un peu loser, un peu régressif, un peu paumé mais ce n’est pas tout. » (Crash, Fabien Guyon et Grégoire Louis, janvier 2009)

« Alister me fait penser à une sorte de Patrick Dewaere sorti des "Valseuses" : démarche féline, avec son blouson de cuir ajusté sur un maillot de corps. Et son goût pour l’entrechat qui ne le quitte pas : je suis là mais ce n’est pas moi ; c’est un concert mais vous êtes en train d’être filmés ; vous aimez la soirée mais insultez-moi… » (Froggy’s Delight, Sandrine Gaillard, octobre 2008)

« Quelque soit la drogue qu'Alister prend avant de composer, je fais la promesse solennelle de ne jamais y toucher » (Radio One-Tetard, avril 2010)

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