2.23.2011

ALISTERISMES (PART 1)


« Il pop in francese non è semplice come in inglese. Qui non si puo cantare « She loves you yeah, yeah, yeah ». Non avrebbe nessun sens. (L’Uomo Vogue, octobre 2009)

« Ma voix pourrait être celle d’un policier » (Le Parisien, septembre 2008)

« Je ne pense jamais à l’inventeur de la bière » (Tsugi, novembre 2008)

« Il faut faire très attention au rire. » (Froggys Delight, avril 2008)

« En concert, quand quelque un crie « A poil » ou « Aux chiottes » je réagis plutôt bien pour la simple et bonne raison que je me suis longtemps comporté ainsi dans les concerts où j’allais en tant que spectateur… » (Brain Magazine, juillet 2008)

« Le côté désespoir à fond, c’est comme la déconne à fond ça m’oppresse. « Berlin » et Patrick Sébastien c’est un peu pareil pour moi » (Technikart, avril 2008)

« C’est une tradition de la chanson française d’être assez près de la cuisine et de l‘évier. Y’a un côté très pratique. » (Le Figaro, septembre 2008)

« Si je vivais à Rome, je ferais un disque en italien. » (Froggys Delight, avril 2008)

« Y’a une façon de chanter : soit on chante, soit on chante » (Canal +, La Musicale, novembre 2008)

« Il y a des gens qui ont des bilboquets, des doudous, des trucs comme ça. Moi, c’est une batte de baseball… » (Magic, mai 2008)

« - On retrouve des musiciens des Love Bandits et des Chateau Marmont chez Alister... Comment se fait-ce ?
- On fait tous du 44, comme ça quand y'en a un qui oublie ces chaussures, on peut lui en prêter une.

- Tu aimes la scène ? Est-ce qu'elle te le rend bien ?
- Je l'aime tellement qu'on me retrouvera dedans.

- Qu'est-ce qu'on va faire de toi ?
- On va le ravaler. » (Benzine, mars 2008)

« Mon travail c'est remplir le vide. Particule et anti-particule.
Comme tout le monde... » (Chicken Tandoori, février 2009)

« Je ne jette jamais une feuille de papier qui n’a pas été utilisée recto ET verso. Rassurez-vous ceci n’a rien à voir avec l’écologie mais, plus humblement, avec la NEVROSE » (Green Kiss, mars 2010)

« En fait, j’écris pas mal pour d’autres mais je ne sais pas pour qui » (Zikametz, septembre 2009)

« Goguenard ? J’aime bien » (Grenews, octobre 2008)

« Mes oreilles sont ailleurs » (Tout Info Lorraine, septembre 2008)

« Ca n'a aucun intérêt de raconter des problèmes de plomberie ou de couronnes dentaires. » (Froggys Delight, avril 2008)

« - Vos projets ?
- Un troisième album puis un deuxième. » (Chicken Tandoori, février 2009)

« - Pour conclure, Alister en trois mots ?
- Liberté, égalité, fraternité » (Tout Info Lorraine, septembre 2008)

« Franchement, on reste trop souvent dans l’approximatif ici » (Vox Pop, juillet 2008)

photo : Arnaud Le Guilcher

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