REVUE DE PRESSE SCHNOCK
« C’est une sorte d’OVNI semestriel qui débarque ces jours-ci » (Bruno Corty, Le Figaro Littéraire, 12/05/2011)
"Drôle, décalé et documenté" (Les Inrockuptibles, 18/05/2011)
« Vieux libidineux ou sages vertueux, vieilles branches ou jeunes branchés, vieilles canailles ou antiques de la racaille, patriarches libertaires ou anarchistes de la droite séculaire, la revue Schnock est faite pour vous. » (Nicolas Truong, Le Monde, 29-30/05/2011)
« Schnock ne fait pas dans la nostalgie débilitante comme ces fameux adulescents qui s’éclatent en bouffant du gloubiboulga mais revisite plutôt une culture qui n’a pas pris une ride, celle des vieux de 27 ans à 87 ans. Schnock, il fallait y penser… » (Mélanie Bauer, Radio Nova, 31/05/2011)
« C’est super » (Ariel Wizman, L’Edition Spéciale, 1/06/2011)
« Schnock pratique le grand écart avec élégance (…) Le poids des mots, le Schnock des cultures » (Thomas Mahler, Le Point, 3/06/2011)
« Sacrément déjanté, drôle, très documenté et fichtrement bien foutu » (Xavier Mauduit, le 5-7 boulevard, France-Inter, 14/06/2011)
« Difficile de résister à l’atmosphère délicieusement rétro de ce cabinet de curiosités pop » (Baptiste Liger, L’Express, 15/06/2011)
« Antibranché, antijeune, « Schnock » n’essaie pas de séduire et n’a rien à nous vendre. Ca fait des vacances » (Marguerite Baux, Grazia, 17/06/2011)
« Schnock, c’est chic » (Agnès Bonfillon, RTL, 21/06/2011)
« Chapeau ! (…) Caustique, léger, Schnock est à déguster en écoutant un bon vieil Eddy Mitchell tout en croquant un Tuc ramolli récupéré au fond du placard de la cuisine » (Christine Perniot, Télérama, 22/06/2011)
« "Revisiter le passé en prenant son temps" : le projet est alléchant. Et le résultat à la hauteur (…) Un régal, on vous dit » (Margaux Wartelle, Libération, 24/06/2011)
« On a tous un vieux Schnock qui sommeille en nous » (Rémi Mistry, A Nous Paris, 27/06/2011)
« Une revue au charme rafraîchissant ! » (Olivia de Lamberterie, Télématin, France 2, 28/06/2011)
« C’est son ton décalé, sans langue de bois, son regard sur les années 70, son iconographie recherchée qui ont emballé ceux qui « ont envie d’échapper à l’hystérie de l’époque » » (Claude Combet, Livres Hebdo, 1/07/2011)
« Un OVNI en librairie » (Direct Matin, 4/07/2011)
« Et si la schnockitude était la nouvelle branchitude ? C'est le pari que lancent, et réussissent avec brio Laurence Rémila et Christophe Ernault » (Jérôme Garcin, Le Nouvel Observatuer, 7/07/2011)
« Je vous laissse découvrir par vous-mêmes cette revue insolente, cochonne, drôle, insolite, gourmande et indéfinissable » (Jérôme Garcin, La Provence, 24/07/2011)
« J’adore le ton, l’humour et le côté «vieux anar des années 70 » qui s’ennuie de la belle époque où l’on pouvait parler de sexe, d’alcool et de tabac sans qu’un spécialiste en sarrau blanc n’entre dans la pièce et ne nous fasse une leçon sur les MST, la cirrhose du foie et le cancer du poumon » (Richard Martineau, Le Journal de Montréal, 7/08/2011)
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